Mizu no Kuni

Kage…une tache considérable pour une seul personne Daitchi en avait fait les frais et sa vie sociable en était rendu au strict minimum seul son conseiller et de temps à autre des assistant avait l’occasion de lui adressé la parole. Les travaux colossaux qu’elle s’était mise à charge devenaient un véritable poids. Mais elle savait se mal nécessaire, le vieil homme qui lui venait en aide dans son travail lui répétait à longueur de journée que la reconstruction d’un village se passer aussi dans les bureaux. Il se répétait tellement qu’elle cru parfois qu’il perdait les pédales. De plus elle sentait les villageois distant ces derniers jours, en effet ces rares apparitions en publique devait certainement en préoccupaient plus d’un. Les villageois de Kiri devaientt ressentir une certaine forme de délaissement de la part de leur Mizukage et déjà des bruit courait sur une éventuelle remise en question de Daitchi au rang de Kage on évoqué même une révolte qui se tramai. Toutes ces rumeurs infondées inquiétées néanmoins Daitchi qui avait prit des dispositions.
Sans était asses de tout ce monticule de paperace interminable. Il y avait d’autre chose aussi importante qu’elle devait accomplir.
Elle se leva et se saisi de son manteau qu’elle enfila rapidement sous l’œil interrogateur de son conseiller, elle lança un sourire pour unique réponse à ce regard intrigué qui la scrutait. Quand elle eu passait le seuil il la rappela :

« Où allez-vous Mizukage-sama ?»

Elle se retourna pour faire face à l’homme et lui répliqua :

« Je vais faire un tour. Cela fait un moment que je n’en est pas eu l’occasion. Et puis sa me permettra de soufflé. »

Il n’eu pas le temps de rajouté un mot de plus qu’elle se trouvait déjà au bout du couloir. L’homme se précipita en sa direction.

« Attendait !! Et vos travaux ? Vous n’allez pas tout laissait en plans ? »

« J’ai d’autre responsabilité que de remplir des formulaires »

« Votre veux le plus chère et de reconstruire Kiri et la reconstruction d’un village se passe aussi dans les bureaux ! »

« Je sais vieil homme, je sais… »

Elle quitta pour de bon la forteresse de kiri en direction du centre ville.
Chaque mètre qu’elle parcourait la distançant d’avantage du bâtiment la mettait de meilleures humeurs. Elle se sentait pousser des ailes, un sentiment du à l’ivresse de liberté trop longtemps privée. Elle n'était vraiment pas faite pour se genre de travail. Les mois passé enfermer lui avait était insupportable et les souvenir que cela lui évoqué commençais à la faire suffoqué entre ces quatres murs.
Elle porgressait toujours d'avantage dans une ruelle perpendiculaire à ses bureaux. Une douce brise qui accompagnait sa marche rendait chaque pas plus facile comme si une force mystérieuse lui faisait délibérément accélérée le pas pour quitter ces lieux. Cette journée débutée vraiment bien.

Invité

La lumière réfléchissait sa douceur sur les murs qui furent brisés. A l'écart de la chaleur des rayons du soleil, un homme se tenait droit, tel un peuplier au milieu d'une foret envahissante. Il craignait celui qui se tient le plus haut dans le ciel, cet astre lumineux qui lui faisait tellement mal aux yeux, ses yeux plongés dans le chaos et l'obscurité, la malédiction du clan Mukushi. Masen se redressa, il épiait les habitants de sa ville, il aimait rester dans l'ombre et la discrétion, observer, analyser, permettait de se faire une opinion concrète du moral du peuple du village de la brume en ces temps de crises, d'ailleurs il n'arrivait toujours pas à se mettre dans l'esprit que la dirigeante du village, Daitchi Yun, était une femme.

Vous savez dans l'esprit des habitants du pays de l'eau, les traditions et les valeurs ancestrales sont des pensées plus conservatrices qu'un morceau de viande sur lequel on met du sel. Le fait que la dirigeante de Kiri soit une femme, et de plus qu'elle assume la reconstruction du village, tout ça n'était pas du tout à son avantage et des rumeurs s'étaient colportées, assassinats, organisations de rebellions, Masen avait un œil sur tout, et même un œil sur elle...Daitchi Yun. Le pas hâtif et la démarche simple de la Mizukage inspirait l'intérêt de Masen qui trouvait en la personne de Yun une personne intéressante, même si c'était qu'une femme. Il s'avança, sortant de l'obscurité tel le soleil après la nuit, laissant ses yeux fermés pour ne pas souffrir de la puissance de la lumière, il interloqua la femme d'une voix calme et posée, comme un arbre centenaire.

Masen : " Un petit moment de calme et de repos, rester cloitrer dans un bureau ne doit pas être facile, rien ne vaut une petit visite dans la ville pour se faire une véritable idée sur l'état général de la ville, n'est ce pas Mizukage-Sama ? "

Il s'avança et s'agenouilla devant la femme, très respectueusement. L'apparence non nonchalante et détendue de la dirigeante de Kiri pouvait supposé qu'elle prenait un peu de repos, mais pour Masen il était évident que sa venue dans les ruelles de la ville cachaient bel et bien quelque chose d'intrigant.

Masen : " Je me présente, Masen du clan Mukuchi, Juunin à la solde de votre prédécesseur, si je puis vous être utile en quoique ce soit...

Son parcours fut bref, alors qu’elle progressait rapidement vers le centre ville elle remarqua la présence d’un homme en retrait. Son allure inquiétante et cette façon qu’il portait son regard sur elle l’intriguer. Sans freiné sa marche pour autant elle le suivi du regard un instant avant de le détourné au moment où elle dépassait la silhouette tapis dans la fraicheur d’une ombre. Elle se posait une multitude de question sur son identité et sur sa réelle présence en ce lieu. Il se pourrait que se soit un shinobi envoyer par quelques opposant mal lunée pour raccourcir son manda ou peut être se faisait elle tout simplement des idées. Cela faisait un moment qu’elle n’avait pas eu de contact extérieur et ces rumeurs plus ou moins fondé de complot l’avait conduit à une forme précaire de paranoïa, en grande partit du au stress et à la fatigue cumulé durant ces longs mois.
N’écartant pas la première hypothèse elle resta sur ses gardes. Si ces soupçons se vérifier l’inconnu profiterait certainement de ce moment d’isolement pour attaquer. En effet la rue déserté de tout signe de vie baigné dans un brouillard rendant la scène d’ont elle n’était pour le moment que spectatrice encore plus lugubre.
Elle sentait qu’il ne tarderait pas à agir d’une façon ou d’une autre.
A bout de nerf elle ne comptait pas laisser l’avantage à son adversaire…
Les murs courant tout le long de l’étroit chemin se recouvrirent progressivement d’un léger film de glace. Elle préparait le terrain où pensait-elle aurait lieu le combat.
Daitchi prit soin de caché sa concentration de chakra pour que l’homme ne remarque rien, elle prit également une allure des plus naturelle pour ne pas attirer l'attention.
Quant enfin il se leva du mur du qu’elle il était accolait en se dirigeant vers la jeune femme.
La Kage croyant belle est bien à une agression tourna la tête en direction du ninja les yeux exorbitant. Des gouttes de sueurs perlais sur sa tempe, chaque infime partit de son corps était crispé
Un pic de glace se matérialisa de millier de gouttelettes et sortit du mur dans le but de transperçais l’inconnu.

Il prit à sa plus grande surprise une attitude pacifique et lui lança d’une voix posée :

" Un petit moment de calme et de repos, rester cloitrer dans un bureau ne doit pas être facile, rien ne vaut une petit visite dans la ville pour se faire une véritable idée sur l'état général de la ville, n'est ce pas Mizukage-Sama ? "

Elle n’avait que très peu portait d’attention à se qu’il venait de lui demandait. Elle avait eu à peine le temps de réaliser qu’elle venait d’échappé au pire. A quelque centimètre du crane de l’inconnu le pic s’était immobilisé. Les muscles du corps de Daitchi s’étaient relâchés mais son cœur quand à lui tambourinai de toutes ces forces contre sa poitrine.
L’arme de glace rétrécit peu à peu avant de complètement disparaître.

Heureusement pour la jeune femme il n’avait pas prêtait attention à se qui s’était déroulé. Il s’inclina et se présenta :

" Je me présente, Masen du clan Mukuchi, Juunin à la solde de votre prédécesseur, si je puis vous être utile en quoique ce soit...

Daitchi resta un instant silencieuse elle reprenait difficilement ces esprits.
Elle le regarda au plus profond des yeux, à vrai dire il n’y avait que ces yeux qui scrutait, sa tête elle était ailleurs ; perdu dans ses pensés.

Au bout de quelque seconde elle atterrit enfin sur terre son cœur avait reprit un rythme normal tout son être se portait mieux. Elle se souvint alors de ces pupilles et de ce clan si mystérieux.

« Enchanté… »

Elle se rappela en bloc de ses derniers concession à laquelle il c’était livré et par nature curieuse voulu en savoir plus.

« Vous étiez au service de l’ancien Mizukage. En quoi consisté votre rôle ? »

Invité

L'inquiétude était le maitre mot. L'attitude étrange du Mizukage envers Masen en disait long sur son état d'esprit en cet instant présent. Elle craignait vraiment pour sa vie, être à l'affut comme cela n'est guère encourageant pour un peuple, se sentir sous une menace perpétuelle peut aussi mener les plus faibles à agir contre leur volonté, avait-elle de véritables raisons de s'inquiéter sur sa vie en la présence de Masen ? Peut être, peut être pas.

En tout cas, les paroles du Mizukage étaient tremblantes de surprises, comme si elle venait de sortir d'un long comas de réflexion intense, à vrai dire, avec une telle attitude, une personne mal informée du village pourrait très bien ne pas reconnaitre le Mizukage. Bien sur, au fur et à mesure de la discution, Daitchi Yun reprenait un esprit à tout épreuve, Masen savait parler, il était plutôt doué en réthorique à vrai dire. Il répondit sur l'instant, mettant fin aux interrogations insoutenable de son opposante.

Masen : " Je suis connus du corps d'élite sous le nom du " Lion Noir ", j'étais en quelques sorte le couteau dissimulé sous la manche du bras droit, j'ai toujours agis dans l'ombre..." Dit-il d'une voix de plus en plus sulfureuse

Il marqua une pause dans sa phrase, le soleil lui frappait la pupille comme une aiguille que l'on vous enfonce dans l'artère fémorale, laissant une douleur insoutenable s'échapper. La sueur commençait à s'échapper sur son front, et la lumière l'éblouissait maintenant complètement, il ne pouvait plus distinguer le visage de son vis à vis, il ne voyait qu'un immense nuage blanc se déformé au fur et à mesure que la silhouette changeait de place.
Il sortit alors du corps métallisé de son armure, une petit masque noir, façonné de tel manière à ce qu'il ressemble à un visage humain, tout en gardant les traits autoritaires du lion et se masqua le visage.

Masen : " Vous permettez...Mes yeux me font mal. Vous pourrez trouver mon dossier dans les archives de votre bureau surement, même si elles doivent être bien planquées, vous savez cette pupille que vous fixiez...le Ryokugan est sujet à contreverses" Dit il d'une voix calme

Totalement remise émotionnellement de la situation dramatique à laquelle elle avait échappée elle se concentra désormais à se que l’homme avait à lui répondre.
Une légère brise vint caresser la nuque de Daitchi ; la fraicheur qu’elle produit au contact de sa peau la fit tressaillir, elle rajusta son manteau.

La rue plus que jamais déserte fut subitement submergée par le vacarme des rus alentours comme si la ville toute entière avait retenue son souffle durant leur confrontation.
Le bruis avait prit une telle ampleur que la rue parut un instant animée par des passants.

Alors qu’il éleva de nouveau la voix pour répondre à la question du Mizukage il sembla gêner par la lumière et ferma sa paupière à plusieurs reprise, il poursuivit néanmoins.

" Je suis connus du corps d'élite sous le nom du " Lion Noir ", j'étais en quelques sorte le couteau dissimulé sous la manche du bras droit, j'ai toujours agis dans l'ombre..."

Le ton qu’il prit fut encore plus sombre qu’à ces débuts. Un ton semblable à celle d’une personne sur le point d’annoncer une nouvelle douloureuse.

Son gêne à l’œil s’amplifia le contraignant à sortit de son armure un masque qu’il s’empressa de porter à son visage. Elle entrevue une dernière fois son visage déformer par la douleur. Il devait endurer un véritable calvaire en silence. Ces yeux qui faisaient sa force étaient aussi sa faiblesse.

" Vous permettez...Mes yeux me font mal. Vous pourrez trouver mon dossier dans les archives de votre bureau surement, même si elles doivent être bien planquées, vous savez cette pupille que vous fixiez...le Ryokugan est sujet à controverses"

" Il est vrai que cela anime de nombreux débats…"

Daitchi fut marqué par l’omnipotence que le masque lui inspirée. Son allure ainsi que le brouillard dans lequel il flottait lui donnait presque une apparence surnaturelle.
Elle reprit sa marche d’un pas lourd et ferme.

" …Marchons un peu.
Vous m’intriguez, même si vous m’affirmer vous trouvez dans nos registre je n’est vu jusqu’à présent aucune trace écrite de votre existence, je ne connais pas chacune des personnes dont j’ai étudiais le dossier mais un visage comme le votre m’aurais marquée."

Elle ajouta à voix basse comme pour sans convaincre :

" Ou peut être est-ce un passé que Kiri préférerait oublier... "

Elle prononça la phrase d’une façon suffisamment audible pour que le ninja soit en la mesure de l’entendre il n’y ajouta rien cependant. Du moins pas directement et c'est après quelques mètres parcouru côtes à cotes qu’il poursuivit enfin :

Invité

Masen : " Si vous n'avez pas la moindre de trace de mes fichiers, c'est normal et je pensais que quelqu'un de votre rang aurait pu le prévoir. J'ai fais des choses pour votre prédécesseur, des choses qui ne doivent pas figurer au grand jour, c'est pour ça qu'il n'y a aucune trace, du moins, à part dans de très vieilles archives surement ..." Dit il d'un ton sec

Continuant leur marche dans cette rue déserte, Masen s'arrêta brusquement et son visage masqué par le lion noir se figea devant celui de Daitchi Yun. Ce masque filtrait la lumière et la chaleur, pour les membres du clan Mokuchi c'était indispensable à leur survies, ou du moins à faciliter leur mode de vie, voila en quoi le clan Mokuchi est similaire au clan Uchiha, cet œil possède des défauts qui peuvent entrainer une incapacité à voir, ou même a ressentir la chaleur. Sur cette pensée, Masen fixait toujours les yeux de Daitchi, puis il prit soudainement un ton aimable.

Masen : " Cessons de parler de moi voulez vous ? Parlez moi un peu de vous, comment êtes vous arrivé au pouvoir ? Pour une femme cela ne doit pas être évident de se faire une place, surtout ici...à Kiri Dit-il

Par cette question, il voulait déjà d'une part évaluer le passé de son vis à vis et ses compétences réelles, son vécus militaire, et la raison qui l'a poussé à devenir le Mizukage, en une seule question, il pouvait faire d'une pierre trois coups. Toujours serein et calme, comme si le vent ne pouvait faire trembler ses feuilles, alors que les bâtiments défilaient tel l'aiguille sortant de la pelote de laine, Masen attendait une réponse de la part du Mizukage.

Il prit assez mal se qu’elle venait de lui dire et il lui répondit d’une façon sèche. En vérité il était évident qu’elle se doutait des activités plus ou moins secrètes du village, c’est elle qui en prenaient les décisions… Mais elle ne l’avait jusqu'à se jour même pas entrevue. Et sa nature méfiante installée ces derniers jours lui faisait prendre certaine précaution. Elle essaya de le mettre dans l’embarrât, s’il n’était pas se qu’il prétendait être, elle le tuerait. Le grade au qu’elle il aspirait n’était pas chose commune. Le village était encore fragile elle redoutait que les pays voisins tente de s’informer sur l’état actuelle de Kiri. Le moindre signe de faiblesse et des hordes de ninjas déferleraient sur le village. S’il s’avérait être un espion il ne sortirait pas de cette rue en un seul morceau. Il essaya de détournait la question en l’accusant d’être mal renseigner. Elle n’y ajouta rien.

Leur regard se croisa de nouveau. Son visage cacher par le masque empêcha Daitchi de discerner toute émotion. Elle se demanda de quoi pouvait t-il bien pensait durant ce court échanges visuel.
De son coté elle méditait sur elle-même ; elle savait le danger omniprésent mais de la à le voir partout. Elle se demandait s’il elle ne sombrait pas dans la folie. Quelque instant plus tôt elle le soupçonnait d’être un assassin et maintenant un espion... Les embuches qu’elle lui semait dans l’unique but de le tuai lui sembla quelque minute auparavant totalement rationnelle et précautionneux ; tout ceci ne lui paressait plus ainsi à présent. Elle avait prêtait attention à des dizaines de détailles. Par exemple elle avait comptait le nombre de pas qu’elle avait parcouru en entrant dans la rue, observée la main directrice de Masen, elle avait aussi analysai une multitude de possibilité de se servir des zones alentours à son profit si un combat survenait.
Se qui l’inquiété le plus cette qu’elle avait portait attention à tout ces détails d’une façon tout à fait naturelle. Comme ci cela lui était innée.

Il poursuivit en changea totalement de ton et de sujet, se qui bien évidement paru équivoque à Daicthi qui sans vraiment le souhaitait redoubla de vigilance.

" Cessons de parler de moi voulez vous ? Parlez moi un peu de vous, comment êtes vous arrivé au pouvoir ? Pour une femme cela ne doit pas être évident de se faire une place, surtout ici...à Kiri

La fatigue était visiblement affichée sur le visage du Mizukage. Ces yeux alourdis par des cernes rendaient son visage creu. Ils ne tardèrent pas à atteindre l’artère principale de la ville.

« J’ai fait mes preuves, j’étais présente quand kiri en avait le plus besoin »

L’épuisement l’envahie elle prit appui sur un mur.

Invité

Masen : " Si je ne vous ai pas connu c'est que je suis encore jeune, je n'ai que 16 ans..." Dit-il en un murmure, pensant toujours à la réponse du Mizukage à sa question précédente

Masen continuait sa route dans cette rue sans fin. Son visage était masqué et aucun signe de faiblesse n'était donc lisible sur celui ci, seul ce morceau de métal noir reflétait le plus profond de son âme. Ce n'était par contre pas le cas du Mizukage, dont les traits commençaient à se déformer, que se passait-il au juste, la mettait-il mal à l'aise à ce point ? Si une petite marche en sa compagnie la mettait dans un état pareil...Non quelque chose d'autre clochait. A ce moment précis Masen n'avait aucune mauvaise intention, il se contentait d'observer les agissements de la reine des brumes. Personne ne devait la voir dans un état pareil, elle qui commande au renouveau, elle doit gouverner d'une main de fer et ne montrer aucune faiblesse, tel était les enseignements qu'avait reçus Masen.

En tout cas, il avait eu une réponse assez vague à la question qu'il venait de lui poser. Alors que les joues du Mizukage se creusaient, tel la terre que l'on creuse sans fin, elle répondit d'une voix monocorde qu'elle avait fais ses preuves. Sa réponse lui fit esquisser un léger sourire, car lui même c'est ce qu'il aurait répondu. Tout pour son peuple, sa ville, son pays, car sans ce dévouement, seul le parjure et le mépris ne peuvent que diriger nos vies. Elle posa sa main contre le mur, l'épuisement était lisible sur son corps, mais Masen lui n'arrêta pas sa marche, il tourna même le dos au Mizukage, une erreur de laisser une opportunité tel à un être que l'on connait pas ? Même si il représente l'autorité suprême, non bien plus que ça. Masen trouvait l'attitude du Mizukage méfiante, car elle dégageait un sentiment trouble, et si ...

Masen : " Si elle se méfie autant de moi, et qu'elle ne me juge pas utile, c'est maintenant qu'elle me tuera..." Pensa t-il

Ses pattes ralentissaient, sa crinière jaunâtre et décrépie balbutiait dans le vent, comme des paroles en l'air. Ses pas se faisaient de moins en moins long, de moins en moins rapide. La distance qui séparait les deux êtres n'étaient pas énorme, seulement une quinzaine de mètres tout au plus. Il restait la face à l'artère principale de la ville, comme un piquet au milieu d'une mine, comme le soleil au milieu du ciel ou la lune au milieu de la nuit. Le cœur qui battait normalement, et ce sentiment jouissif d'avoir à jouer sa vie en l'instant présent, attendait-il vraiment quelque chose de ce test ? Peut être peut être pas, ce qui était sur, c'est que si elle devait se débarrasser du lion noir, il ne lèverait pas le doigt sur le Mizukage

La Mizukage prit un temps de repo tandis que son compagnon de marche continua sa progression sous le regard nonchalant de celle-ci. Se n’est qu’à une dizaine de mètre qu’il s’arrêta enfin, tournant malgré les circonstances le dos à son supérieur. Il se tenait la fixe sans prononçais le moindre mot.
Le court silence qui avait prit place fut perturbé par le rire de Daitchi à la grande surprise de Musen qui n’avait toujours pas bougeait d’un pouce.

« Je ne sais pas à quoi tu pense, mais il serait bien que tu dédaigne me venir en aide… »

Sa demande pu paraître déplacer de la part d’un kage, mais après tout elle en était pas moins mortelle que n’importe qui ; et aussi forte qu’elle fut ne peut échapper à l’appelle inéluctable du sommeil. Justement alors qu’il s’approprier ces droits sur elle l’homme à l’armure finit par bougeait sachant sa vie en sécurité.
L’agissement étrange du shinobie questionna Daitchi. Aurait t-il ressentit sa méfiance ? Si oui alors pourquoi restait immobile s’il savait sa vie en danger ?
Elle ne le saurait sans doute jamais. Il l’invita à prendre son bras pour la conduire jusqu'à un banc voisin.
Quand ils l’atteignirent il l’aida à prendre place.
L’homme resta debout, son visage toujours dissimulé par se masque qui la fixait.
Elle prit la parole à bout de souffle :

« Vous devez me trouvait ridicule… voila des jours que je travaille mais il est un moment ou il faut savoir faire une pause. »

Heureusement ils étaient encore loin des grandes zone de fréquentations où les villageois avaient l’habitude de se trouvaient et c’était mieux ainsi. Elle n’aurait pas souhaitait que la foule ne la voit affaiblie par les évènements. Elle n’offrait se privilège qu’à cet inconnu ; « Lion Noir »

Invité

D'un mouvement brusque, il s'empressa de lui venir en aide. Supportant son poids sur son épaule, il s'asseyaient sur un muret, ou le Mizukage prit un peu de repos avant de dire à Masen que le travail à son bureau était de nature épuisante. Masen ne dit rien suite à cette phrase, diriger, prendre le contrôle exige quelques sacrifices. Lorsque l'on est un soldat, c'est simple, on suit les ordres que l'on nous donne et on les exécutent, lorsque l'on dirige, il faut s'assurer que les autres exécutent ce que l'on leur ordonne de faire, une différence de nature donc. Mais, si le devoir du soldat est d'obéir, ce qui semble bien moins fatiguant, le travail de direction était bien plus épuisant, tant mentalement que physiquement, de ce fait Masen comprenait complètement le comportement de son Mizukage.

Il prit un temps de pause lui aussi, son regard s'aventura dans les rues peu peuplées de Kiri, à cet heure de la journée. Puis Masen toujours armé de son masque se retourna vers Daitchi, et lui posa une question, son comportement exprimait certe une fatigue mentale, mais bien souvent, lorsque quelque chose nous tracasses, nous nous fatiguons deux fois plus.

Masen : " Qu'est ce qui vous tracasse autant ? Est-ce ces imbéciles qui ne supportent pas de voir le pouvoir entre les mains d'une femme, ou ces autres infirmes qui pensent pouvoir vous déloger de vos fonctions ? N'ayez crainte, à partir de maintenant, votre ombre sera mon refuge..." Dit-il

Il marqua une courte pause, puis repartit de plus belle sur son intervention, posait-il les bonnes questions ? Ou était-il à côté de la plaque ? L'erreur est humaine, peut être que le problème, si il y en avait un autre que la fatigue, ne se situait pas là, au delà des frontière du pays de l'eau, un fléau s'abattait sur le monde, Makura.

Masen : " Ou peut être est ce ce groupement que l'on nomme Makura qui vous inquiète autant..."

Masen attendait patiemment des réponses concises à ses questions...Peut être qu'elles lui apporteront de nouvelles informations qui lui seront surement utiles dans ses projets...

Le temps se dégrada rapidement le ciel jusqu’alors relativement radieux laissa place à un amoncellement de nuage menaçant. Les premières gouttes chutèrent et vinrent se brisaient sur le toit de nombreux logement dans un bruit sourd et plaisant. Certaine s’écoulaient le long du vissage de Daitchi soulageant de leur petite douceur les traits de fatigue du Kage. La jeune femme releva la tête pour apprécier l’effet qu’elles produisaient sur elle, emportant avec les doutes dont elle c’était revêtu.

L’homme qui lui faisait face détourna le regard pour jeter un coup d’œil furtif au alentour. Puis comme rassurait le déposa à nouveau sur Daitchi.

" Qu'est ce qui vous tracasse autant ? Est-ce ces imbéciles qui ne supportent pas de voir le pouvoir entre les mains d'une femme, ou ces autres infirmes qui pensent pouvoir vous déloger de vos fonctions ? N'ayez crainte, à partir de maintenant, votre ombre sera mon refuge..."

A ces mots elle rabaissa la tête. Cet homme… finalement il se pourrait que se ne soit qu’un enjôleur, aux manières douces et caressantes…Non ces propos avaient l’air sincère ou du moins elle l’espérait. Elle ne savait quoi répondre à se qu’il venait de lui avançait, se fut si soudain, une personne qu’elle connaissait à peine venait de lui annonçait qu’il la protégerait contre toute orme de menace.
Il poursuivit sans atteindre de réponse :

" Ou peut être est ce groupement que l'on nomme Makura qui vous inquiète autant..."

Makura… se nom résonna dans sa tête et t’elle une pierre jetait dans une marre lui amena le trouble dans son esprit. Elle se déconnecta un instant de la réalité pour venir habitait ces souvenirs. Elle se souvint de cette nuit où au sein d’une équipe d’ANBU elle les avait affronté voila maintenant quatre ans :

(hrp : c'est une suite qui découle de mon histoire personelle. si tu veut mieu comprendre se serait bien que tu la lise : http://www.shinobinokoji.com/presentations-validees-f10/presenttion-daitchi-yun-t55.htm

bon courage et bonne lecture ^^ )

A leurs arrivaient ils constatèrent que le village n’avait pas souffert ou peu. La nuit tombait et l’équipe ne tarderait pas à agir. Les derniers préparatifs furent misent en place et c’est au plus profond de la nuit que le groupe intervint. […] Ils s’élancèrent par deux progressant rue après rue dans un silence absolue. Leur efficacité remarquable était t’elle que dés vint la première confrontation se fut rapide et sans effusion de sang. Quand ils atteignirent le cœur du village, la forteresse du Mizukage, ils se regroupèrent et se mirent en marche vers le dernier retranchement possible des antagonistes. Une fois atteint la porte principale et de la stratégie à adopter, le groupe se dispersa de nouveau avec chacun un but bien définit. Daitchi et son compagnon d’arme Sobuto partir en direction des quartiers personnelle du Kage. Leur objectif récupérer des documents secrets appartement à Kiri Elle ne contesta pas les ordres. Cette pratique n’était pas digne de la considération qu’elle portait de konoha mais les ninjas qu’elle assistait faisaient partit de la « racine » et elle le savait. Leur réputation froide et sans remord était contre tout jugement moral, c’est se qui faisait aussi leur force. La mainmise de t’elle dossier serait un avantage certain du pays de la feuille sur celui de la brume.
La porte coulissa pour laisser apparaître le duo de shinobie, ils parvinrent très vite aux étagères pleine à craquer. L’homme sortit plusieurs cartons, il examina leur contenu avant de les remettre soigneusement à leur place. Personne ne devait savoir que Konoha se livrait à de t’elle forfait. Daitchi quand à elle se tenait à l’entrer de la pièce prenant soin d’appliquer se que son second lui avait ordonné : « Ne laissez personne approcher t’elle qu’il soit ». Elle redoutait qu’une personne totalement innocente fasse son apparition, Elle savait qu’elle devrait alors l’éliminer mais en aurait t’elle la force ? Elle n’aimait pas se considérer faisant partit intégrante de l’équipe. S’il elle les avait rejoins se n’était que sur ordre de L’Hokage.
Elle aperçue un mouvement, la main sur son sabre l’autre sur sa sacoche elle guettait une éventuelle arrivée.
Quand un Sobuto lui cria un avertissement :
« Ne reste pas là !! »
Ce fut à se moment qu’une force incroyable la projeta contre une cloison. Elle reprenait difficilement ces esprits, le choc l’avait sérieusement sonné.
Un homme avait fait son arrivé, la noirceur de la pièce ne permettait pas d’identifier un visage. Sobuto venait de parer une attaque qui lui était destinée, elle se demandait comment avait t-il pu la surprendre ainsi alors qu’elle surveillé attentivement l’entrer. Le combat s’enchaina et les armes des deux adversaires s’entre choquaient violement, les étincelles du heurt des armes éclairciçaient momentanément la pièce.
Le combat s’intensifia, pour finalement se conclure par la défaite de L’ANBU.
Daitchi avait eu à peine le temps de se remettre sur pied, que déjà l’homme avait mit à genoux son coéquipier. Celui-ci savant sa fin imminente fit glissait sur le sol les dossiers qu’il s’était emparer quelques minutes plus tôt. Quand il sans aperçue l’ennemi d’un geste ample mit fin à ces jours devant elle. Le sang jailli par vague successive, l’éclaboussure macula la zone alentour dont Daitchi qui le visage remplit de rage s’élança vers l’inconnu.
D’un coup de sabre elle essaya d’atteindre sa cible en vain. Il contre attaqua d’une aisance incroyable. Son épée venait de transperçait son bras, le cri de douleur empli la pièce.
Se trouvant à seulement quelque mettre de l’homme le poing ferme elle lança un deuxième assaut. Alors qu’elle était sur le point de frapper elle virevolta de tout sens, se que l’homme essaya de stoppait. Il parvint à arrêté la lame de Daitchi attenant à son visage. Croyant l’attaque de nouveau manquer on pu distinguer sur ces traits un sourire provocateur. Pourtant les deux armes toujours l’une contre l’autre, la pupille de la jeune femme se dilata pour n’apparaître plus que d’un noir profond. La lame qu’elle tenait oppressant celle de son adversaire avec tant de ferveur, doubla de taille et devint une arme de glace et d’acier. L’homme se rendant très vite compte que la situation lui échapper tenta maladroitement de jeter un coup de pied, la glace désormais omni présente bloqua sa tentative. Sa main libre commença alors une série de signe dans l’intention de le sortir de cette mauvaise passe la encore une pic vint l’arrêter en transperçant sa main. Désormais chaque membre avait étaient immobilisés paralysant complètement le moindre de ces faits et gestes. Il ne restait plus qu’à Daitchi de l'achever. D’un geste plein de hargne elle porta sa main à la poitrine du ninja :

« Tsumetai No Jutsu !! »

La peau en contact de la paume à la jeune ANBU gela, se froid intense parvint très vite au tissu se rependant comme l’écoulement de l’eau. Le cœur, l’organe ciblé fut touchait lui aussi, son rythme ralentit de plus en plus prit dans la glace il finit par s’arrêté complètement ; l’homme ne bougea bientôt plus, ces muscles se relâchèrent tout était finit. Il chuta et tomba dans les bras de la jeune femme qui le déposa dans les raillons crayeux de la lune. Avec horreur elle découvrit que son visage muta pour ne devenir que celui d’un ninja de Kiri. Elle prononça d’une voix éteinte à peine audible :
« Un…j’ai tué un innocent… »
Des larmes ne purent être retenues. Quelqu’un c’était servit d’un innocent pour le faire combattre à sa place et elle l’avait tué…
Les preuves devaient disparaître mais aussi ces documents qui entre de mauvaise main tueront d’avantage de personne innocente.
Sortit de l’impressionnante bâtisse elle marcha sans se retourner une seul fois même quand la pièce et une partit de la forteresse explosa important en fumée les archives et les corps qu’elle regrettait tant.
Son équipe au complet ou presque avait de leur part réussi avec succès leur objectif.
L’un des ANBUS lui lança sèchement :

« Ou sont les documents que tu devait nous rapportaient !?! »

Elle le regarda le regard toujours empli par la fureur il ne s’inquiétait même pas du sort de Sobuto.

« Tout à étaient détruits, Sobuto avec… »

Il éleva la voix :

« Comment ! Tu es une inca… »

L’aura meurtrière qu’elle dégageait s’intensifia, le sol et les alentours commençait à être prit dans le gel.

« La ferme… vous me dégoutez. Vous ne vous souciez même pas de votre propre coéquipier. Qu’elle genre d’individu êtes vous ? »

Une ombre se percha du haut d’une maison.

« Les mêmes individus que toi et moi Daitchi de ceux qui assassine des innocent pour la réussite d’une mission. »

Elle reconnue la silhouette de l’homme affronter auparavant dans la salle des archives. Elle comprit qu’il était le responsable de tout sa, en ignorant jusqu'à son visage.

L’un des ANBUS sembla le reconnaitre et prit la parole.

« Un membre de Macura nous aurions du nous en douter… »

« Personne n’est parfait même pas ceux qui avait juré de ne tuer aucun innocent. »
Il sourit, se sourire indélébile, moqueur identique à celui de leur rencontre artificiel.

« La ferme !! Vous m’avez abusé ! Je vous tuerez ! JE VOUS TUEREZ !!!! »

La maison d’où il était perché explosa littéralement, Des pilonnes d’eau s’élançaient de toutes parts dans le but de broyer le ninja.

« Elle aurait pu être habitait vous auriez eu la mort d’autre personne sur la conscience »

Son rire reprit de plus belle agaçant pour de bon Daitchi.

« LA FERME !! »

Les colonnes d’eaux poursuivaient sans relâche leur proie.

Il finit par s’immobilisait :

« Je n’ai pas le temps de jouer avec toi et tes amis, peut être une prochaine fois, Daitchi. »

Sa silhouette disparue dans un nuage opaque toujours accompagné par se rire.

[...]Les pertes furent minime mais couteuse, l’opération avait était un succès. Daitchi avait la encore montrer son efficacité en éliminant la menace. La situation désastreuse des villageois l’inquiété à la différence du reste de l’équipe qui avait une certaine rancœur vis à vis de Kiri une rancœur apparent partager. Après une longue discutions animée avec l’ensemble des Anbus elle comprit qu’elle n’obtiendrait rien de ses compagnons. Pour eux la mission avait était un succès leur objectif était remplit ils devaient rentrer aux villages.

Quand elle revenu à elle, une certaine rancœur resurgie face à cette homme et à se clan.
Elle fit abstraction un instant pour répondre à Lion noir :

« Beaucoup de chose me tracasse tu sais et pas seulement les facteurs que tu a citer. J’ai aussi des choses bien plus personnelles. »

Invité

Toujours aussi mystérieux, la voix douce caressant la pluie par ses ondes apaisantes, Masen commençait à sentir un certain malaise s'installer, peut être avait-il éveillé en Daitchi Yun des souvenirs enfouis comme un trésor de mort que l'on cache quelque part dans notre inconscient, une part de nous même que l'on oubli avec le temps et qui comme un boomerang nous revient en pleine figure. En faisait-il trop ? Peut être. Son regard était figé, et contrastait avec le mouvement de la pluie qui tombait du ciel jusqu'à son visage divin, divine reine aux armes brisées. Les simples mots qu'il venait de prononcer avait eu de l'impact, son teint était pâle, sa bouche grande ouverte comme si ses pensées s"échappait de son corps sous la forme de buée. Ses yeux écarquillés, fixait le masque du Lionceau comme si quelque chose venait de le défigurer, d'ailleurs elle était elle aussi défigurée; par le songe et la reflexion.

Masen n'avait que très peu d'informations sur Makkura, mais jamais le précédent Mizukage qui avait été pour Masen, comme un père spirituel n'aurait pris à cœur, ou plutôt de cette manière , la simple diction du mot qui désignait ce groupement maudit. Mais peu à peu, comme le mauvais temps chassait le soleil, elle reprit ses esprits. Comme si elle avait reçus un coup de massue en pleine tête, ses yeux étaient emplis de détresse. Elle parla d'une voix cristalline, la bouche entre ouverte, elle lui dit alors que Makkura et les factions de rebelles qui se créaient autour du Mizukage n'étaient, en quelque sorte que des soucis parmi tant d'autres...Mentait-elle ? Quoi de plus important au monde que notre passé, notre vengeance, qui nous pousse à dépasser nos limites, à devenir cruel et ne plus se fier à la morale qui inhibe nos sens ? Masen était assez mature pour son age, le regard plongé dans les abimes, il enleva son masque, le soleil avait était vaincus dans le ciel, il répondit sur le champs à Daitchi Yun par quelques mots.

Masen : " Nous avons tous notre part de problèmes à résoudre...moi aussi je recherche quelque chose qui m'est inaccessible pour le moment " Dit -il en souriant

Son regard sombre, et sa pupille envoutante était maintenant au grand jours. Ses yeux qui vous plonge dans les tréfonds de votre esprit, dans les illusions les plus imprévues, l'un des Dojutsus les plus raffiné, bien que moins puissant que la plupart des autres , Le Ryokugan, voué à demeurer dans les ténèbres. Son allure inquiétante se propagea de nouveau dans l'air, son attitude pensive, laissait à croire qu'il était en train de réver sur place, comme hypnotisé par un objectif qu'il n'atteindra jamais...

Pour le moment, il restait las, devant celle qui était désignée comme la dirigeante des brumes, celle qui commande au nom de Daitchi Yun, pour l'instant son rôle était de répondre de ses envies, de ses désirs, d'être le couteau qui frappe dans le dos des traitres, des rebelles, et de ceux qui se dressent dans l'ombre comme la peste, Makkura...Faisait-il donc partie de ces moutons, qui suivent les ordres ? Non Masen était bien plus que ça chacun de ses mots avaient un sens, un but, parler avec Masen impliquait une constante vigilance, et, même si le Mizukage pouvait commencer à avoir des doutes sur la nature de Masen, quoi de plus normal pour un Juunin de répondre au nom de celle qui incarne la patrie ?

Masen : " Et puis, vous savez...Je suis aveugle de naissance, la pupille noyée dans le passé d'un clan qui a perdu son prestige, sa force et son honneur ..."
Dit-il en soupirant

Il marqua une pause, puis reprit dans un dernier souffle.

Masen : " Mais des ténèbres, jaillira une nouvelle lumière..." Dit-il avec foi et conviction

Au fur et à mesure que le temps s’écoulait la vigilance de Daitchi se relâcher. Elle s’habituait à la présence de Masen qu’elle finit même par trouver agréable.
Toujours face à face l’un l’autre, elle assit lui debout songeur, répondit à se qu’elle lui avait déclaré après quelque minute de réflexion.

Alors qu’il lui faisait part lui aussi se son but. Il s’arrêta net dans ces propos. Quelque chose l’avait interpellé, il plongea sa main dans une sacoche à sa ceinture pour en sortir un Kunai. Son geste fut rapide. Une fois en main il le fit pivoter pour ficher la lame vers l’extérieur. Son regard balaya la rue, cette pupille parcourait la moindre parcelle de terrain visible.

*Qu’a-t-il vu ?!*

La jeune femme se redressa pour agir rapidement si un événement venait à se produire. Tandis qu’elle exécutait son action Masen projeta son arme contre la paroi d’un mur des plus inoffensifs, il ricocha contre la pierre ne laissant qu’une légère marque d’impact. Le bruit du métal au contact du pavé résonna.

« Qui a t-il ?! »

Son attention qu’elle venait tout juste d’atténuer, était de nouveau solliciter pour mettre à jour se qui inquiété tant son compagnon. Elle s’aperçue alors qu’il n’était pas seule contrairement à se que les apparences laissaient croire. La troisième présence se sachant repérer passa à l’attaque contre celui qui l’avait percé à jour.
Daitchi débuta un enchainement de signe, le sabre tenu par l’inconnu frappa contre celui de la faux du kage. Masen quand à lui avait anticipé l’attaque qui lui était destiné et c’était replié à quelque mettre de là.

Une main maintenant sa faux l’autre sur le mur elle prodigua une incroyable poussée qui projeta l’homme en arrière. Elle ne se contenta pas de le repousser, en effet l’autre main toujours en appuie sur le mur fit apparaître de la cloison une paroi végétal qui vint se broyai contre le mur mitoyen soulevant un nuage obstruant un instant la scène et le sort du ninja adverse.
Masen s’avança vers le Mizukage ne sachant s’il était vaincu. Daitchi quand à elle resentait encore la marque de son chakra. La rue en était empreigné. Il vivait toujours.

La pointe de la faux percuta le sol, la zone en contact devint de glace.

« Prépare-toi, il revient.»

Invité

Masen : " Shiraha Kuroi "
un peu de répit Sans_t11

Prononça t-il dans les méandres de la pluie

De l'œil sortit l'obscur, et de l'obscur sortit l'épée provoquant l'obscur. Masen tenait entre ses doigts un résidus d'obscurité, l'une des trois grandes malédiction du clan Mukuchi matérialisée par cette épée que l'on nomme : Moujin. L'allure de l'épée était étrange, le bout de l'épée était relevée lui donnant l'allure d'un sabre ancien, sa forme générale ondulée lui donnait la forme d'un serpent, se faufilant à travers les ombres.

L'inconnu passa à l'attaque, son sabre entre ses mains d'infidèle. S'attaquer au Kage en personne, lorsqu'elle prend un peu de repos, quelle lâcheté. Le sabre de l'inconnu avançait en cette fin de journée orageuse, à une vitesse étonnante, ce n'était pas un débutant, loin de là. Le sabre se rapprochait, Masen avait du mal a identifier chacun des mouvements de sa cible, d'un geste calme, il pointa le sabre en direction de l'inconnu, et sans bouger il attendit que celui-ci le perfore de son sabre ingrat. Les pas de l'homme s'accélérèrent, il approchait. Masen, possédait toujours le regard rivé dans la direction de l'homme, le lion tapis dans l'ombre attendait son heure. Mais ce fut l'ennemi qui frappa le premier, il perfora d'un grand coup de sabre le thorax de Masen, qui lui n'avait apparemment pas touché son adversaire avec son coup d'épée léché qui aurait du coupé la jambe de son adversaire. Le sang s'écoulait de la blessure sur son ventre, il perdait pas mal de sang. Mais il souriait, le Lion Noir souriait. Il murmura alors quelque chose.

Masen : " Deux ..." Dit-il la main sur le ventre...

Que voulait-il dire. L'ennemi quand à lui n'avait toujours pas chancelé. Il s'étonnait d'ailleurs de ne pas avoir eu la jambe coupée. Comprenait-il ce qu'il était en train de faire ? Celui dont la crinière est de sang, celui qui rugit par les yeux et pleure par la bouche de la sueur et des larmes. La malédiction du Moujin commençait peu à peu a gagner le cerveau de cet inconnu, encore un seul coup d'épée, et il serait comme Masen, ou plutôt non, il ne serait qu'un simple aveugle, incapable de voir la lumière et les couleur. A partir de là, la capture de l'individu serait bien plus évidente.

Mais lorsque Masen détourna le regard, l'homme avait disparu, et même les yeux de Masen ne pouvait distinguer sa silhouette. Ou était-il passé ? Peut être que le Mizukage avait une idée en tête. Encore un coup d'épée, se disait-il, un seul coup d'épée et Moujin rendra le calme en cette fin de matinée agitée. Masen tourna la tête vers Daitchi Yun, qui n'avait pas bougé, tenant sa faux entre ses doigts comme si elle tenait sa vie. Le combat sera t-il bientôt terminé, ou l'homme avait-il un plan B, s'attaquer a deux ninja d'élite, quelle imprudence, quelle foutaise.

La rue était partiellement détruite suite à l’attaque portait par Daitchi, l’homme sortit des décombres indemne, La technique qui venait d’essuyer l’avait à peine fait sourciller laissant juste le temps pour Masen de se préparer à son prochaine assaut. Une épée mystérieuse apparu alors entre ces mains, qu’il tenait là, attendant que son adversaire le charge. Il resta ainsi figé jusqu’à que la lame vint perçait sa poitrine; une giclée de sang s’échappa de son armure.
Daitchi resta elle aussi fixe, ne sachant que faire sur le fait. Son compagnon s’était délibérément mise en danger, pourquoi ? Il n’en tirait aucun profit. Pourtant Masen alors que la situation semblait lui échapper totalement, souri. Un sourire discret comme pour marquer une satisfaction personnelle. Qu’avait-il en tête ? Si seulement elle était en mesure de savoir se qu’il tentait d’accomplir, elle serait plus apte à l’aider mais elle ne savait rien de lui, un fait réciproque. L’inconnu avait de nouveau disparut, une fois son coup porté. Profitant d’un autre instant d’égard pour frapper de nouveau mais en était ce vraiment un ? Elle savait Masen énigmatique, pas stupide. Il préparait quelque chose.
De son coté la jeune Mizukage analysé leur confrontation jusqu'à présent prompt et brutal.
Elle se concentra tentant tant bien que mal de garder la marque du chakra du shinobie adverse et d’en suivre la trace.
Elle la trouva…réalisant très vite par où il ferait sa prochaine apparition
*en dessous !!*
Le pavée éclata laissant apparaitre le ninja.
De sa main libre elle plongea ces doigts dans sa chaire, un froid ardent en émana. Sa peau blanchie. Sur cette peau un tatouage, l’effigie d’un serpent.
Le sang de Daitchi se glaça de stupeur.
*Cette homme, cette marque…*
Toujours plongeait dans ses pensés le shinobie cloué au sol disparut dans un nuage de fumée. Il s’avérait être un clone laissant ainsi libre champ au véritable ninja sur le point de frapper la Kage dans son angle mort, son dos.

Inconnu : « trop lente !! »

Hrp : dsl Masen du retard, ces deux dernières semaines j’ai énormément de boulot. J’ai quasiment 3 examens par jours. Ceci du au fait que mon conseil est dans à peine 10 jours.
Voila encore dsl et bon rp.

Mizu no Kuni

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